
« J’ai marché et encore marché, je suis passé du Paris où il y a la place pour rien à celui où y en a trop pour tout. Des trottoirs trop grands, des immeubles trop larges, des voitures trop grosses. Rien à faire, ça suffit, ça suffit pas pour remplir tout le vide que les riches d’ici installent autour d’eux. […] C’est comme partout, il y a que le décor qui change. J’aime pas ces endroits, on s’y ennuie trop. »
Nino dans la nuit où le genre de bouquin qui t’envoie du lourd, te fait prendre conscience de la...
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