
« Ici, je suis en sécurité. Personne ne peut me trouver, pas même ce type croisé devant les portes du Rio. Qui à la surface, pourrait imaginer que des hommes ont choisi de vivre à plus de huit mètres sous terre dans des galeries souterraines ? Boyaux qui se déploient sur des dizaines et des dizaines de kilomètres sous l’aéroport. »
Elle erre. D’un terminal en un autre terminal, d’une zone d’attente à une zone d’embarquement, d’un sas à un autre. Seule. Seule parmi les autres, parmi tant d’autres....
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