
Parce qu’il y a des années troubles, des années où les cœurs battent à l’unisson et se désagrègent en quelques secondes. Parce qu’il y a des années où les absents sont terriblement absents, loin, partis vers d’autres chemins et malgré la douleur de la séparation, ils sont toujours aussi présents. Il y a des années où tenir la, les mains d’autres sont des remparts à nos vides, nos doutes, nos peurs, nos incontrôlables incontrôlées. Voute étoilée qui réchauffe, resplendie et redonne croyance en nos possibles. Force qui devient rempart...
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